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Galleria Tassonomica di
Natura Mediterraneo
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Autore |
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iperione
Utente Senior
Città: Cremona
2265 Messaggi Tutti i Forum |
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fern
Utente Senior
Città: Vicenza
2351 Messaggi Flora e Fauna |
Inserito il - 23 aprile 2018 : 12:46:57
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Credo che la suddivisione del genere Euconulus in Europa in 4, forse 5, specie sia stata operata da G. Falkner, Theo E.J. Ripken & M. Falkner, Mollusques Continentaux de France - Liste de Référence annotée et Bibliographie, 2002. Prima di allora si parlava di due sole specie: E. fulvus ed E. alderi (Gray, 1840) Per la fauna francese vengono distinti: • E. fulvus (O.F. Müller, 1774) • E. trochiformis (Montagu, 1803) • E. praticola (Reinhardt, 1883) • E. callopisticus (Bourguignat, 1890) cui si deve aggiungere un Euconulus sp. limitato alla Corsica. Secondo Fauna Europaea solo la prima e la quarta appartengono alla fauna italiana, ma siccome le specie erano in precedenza confuse, qualche dubbio sembra lecito anche se a quanto pare gli autori hanno fatto un serio lavoro di revisione. Le differenze riportate sono solo morfologiche:
| Euconulus fulvus Nous appliquons ce nom à une espèce d'Euconulus à coquille claire, relativemente plus déprimée, d'apparence soyeuse sur la partie adapicale des tours, à base très brillante et presque lisse, et à animal de couleur claire. Cette espèce est celle qui correspond en grande partie à ce que les auteurs ont considéré comme fulvus "typique" ou sa var. mortonii Jeffreys 1830. Elle vit dans des forêts de feuillus ou de conifères moyennement humides et est indifférente au pH du sol. Sa répartition est européenne et même probablement holartique. En France, sa syntopie avec d'autres espèces d'Euconulus parait exceptionnelle: à part le matériel de la forêt d'Ermenonville cité plus haut, E. fulvus est toujours présent seuledans e matériel que nous avons révisé. Le concept origila de Helix fulva de O. F. Müller (1774: 56-57) était sans aucun doute fondé sur un mélange d'esppces, y compris l'espèce hygrophyle E. praticola et le stade jeune de Perforatela bidentata, mais la partie principale de la description parait fondée sur une espèce d'Euconulus des hêtraies ("inter folia putrida fagina") que Müller croyait apparemment être le jeune de son espèce. Falkner et von Proschwitz ont indépendamment recherché des Euconulus à la localité type, Frederiksdal près de Copenhague, où existent encore de belles hêtraies naturelles sur le sol acide; la seule espèce rencontre est E. fulvus au sens où nous l'employons ici. Pour stabiliser l'application du nom, nous désignerons ultérieurement un néotype de cette population (.. en prép.) |
| Euconulus trochiformis. Nous appliquons ce nom à une espèce d'Euconulus à coquille sombre, à spire plus élevée que chez fulvus, à partie adapicale des tours mate ou peu brillante, à base plus brillante, avec des sillons spiraux bien marqués, et à animal de teinte intermédiaire entre celle de fulvus et praticola. E. trochiformis est une espèce des forêts humides de feuillus. Sa répartition, qui parait plutôt atlantique, s'étend da la Scandinavie au Portugal (Forêt de Bucaco). De France, nous ne la connaissons avec certitude que de trois localité ... Un cas de syntopie avec fulvus a été noté par Ripken (1969, Corr. -Bl. nederl. malac. Ver. 135: 1491, sous les noms alderi et fulvus) aux Pays-Bas, où l'examen de matériel additionnel montre que E. trochiformis vit dans les forêts anciennes, peu anthropisées; cette syntopie existe aussi dans les Îles Britanniques. Il n'existe plus de matériel type de Helix trochiformis (Dean 1936, J. Conch. 20: 230), mais les éléments suivants de la description originale de Montagu (1803: 427, pl. 11 fig. 9) nous paraissent s'appliquer à l'espèce que nous désignons sous ce nom: spire assez haute ("apex considerably produced"), tours lisses et brillants avec une suture relativement profonde, couleur fauve, quelquefois rougeâtre, animal de couleur claire. De plus, Montagu indique que H. trochiformis vit en forêt et décrit un habitat hygrophile ("partial to mosti situations, generally found on decayed wood, or timber that has lain some time on the ground") qui convient bien à l'espèce pour laquelle nous employons ce nom. Le matériel des Îles Britanniques que nous avons examiné suggère que cette espèce y estplus répandue que la ruivante, et il est probable que la majorité des points cartographiés par Kerney (1999: 167, sous le nom alderi) se rapportent à trochiformis plutôt qu'à praticola. .... |
| Euconuls praticola Nous appliquons ce nom à une espèce d'Euconulus à coquille sombre, rouge-brun ou brun jaunâtre, relativement plus grande, souvent plus conique, à partie adapicale des tours et base également très brillantes, avec sure la base une sculpture de sillons spiraux plus espacés que chez l'espèce précédente, à animal très foncé, paraissant preque noir. E. praticola est une espèce particulièrement stenoèce, très hygrophile, caractéristique des tourbières marécageuses, des roselières et du voisinage de l'eau. Sa repartition confirmée s'étend de la Scandinavie centrale à l'Europe centrale, aux Îles Britanniques et au nord-ouest de l'Espagne. En France, nous avons pour le moment vérifié les localités suivantes, qui suggèrent une répartition plutôt septentrionale ... Hyalina (Conulus) praticola Reinhard 1883 est le nom le plus ancien qui puisse être appliqué à cette espèce. La description originale ne donne aucune localité, mai Reinhardt 1899 (...) a donné des informations écologiques complémentaires et a précisé que son matériel de 1883 était originaire de la marche prussienne du Brandebourg. Du matéreil type est présent au SMF et un lectotype sera désigné. |
| Euconulus callpisticus. Nous appliquons ce nom à une espèce d'Euconulus à coquille sombre, rouge-brun ou brun-jaunâtre, de taille assez grande, comparable à celle de praticola, à spire remarquablement haute, à partie adapicale des tours mate avec une microsculpture de très fines costulations axiales, à base semblable à celle de fulvus mais moin brillante, et à animal très foncé. D'après les observations de l'un de nous (G. Falkner) dans la Réserve Naturelle des Ramières du val de Drôme, on peut penser qu'il s'agit d'une espèce hygrophile, occupant des milieux ouverts ou un peu boisés des vallées fluviales, proches de l'eau. A' en juger par l'occurrence de coquilles vides dans les dépôts de crue (Germain 1931: 141), cet habitat doit également être le sien dans les autres localités où E. callopisticus a été reconnu. Outre la station de la Drôme déja mentionnée, nous connaissons E. callopisticus en France de deux localités historiques et deux localités modernes: Lyon (localité type ...); Toulouse (...), plusieurs stations des Alpes-de-Haute-Provence dans les environs de Barles et au Sud de Digne. Nous soupçonnons une répartition plus vaste en France méditerranéenne et, sans doute, en Italie et en Espagne. Euconulus callopisticus a été réconnu comme bonne espèce par Germain (...); l'indication de la répartition "presque partout" laisse néammoins supposer qu'il n'a pas toujours appliqué le nom dans le sens du type porte-nom. |
Accettando queste descrizioni e distribuzioni il colore scuro dell'animale porterebbe ad Euconulus callopisticus, ma non vedo una spira "remarquablement haute". Mah!
fern
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iperione
Utente Senior
Città: Cremona
2265 Messaggi Tutti i Forum |
Inserito il - 23 aprile 2018 : 14:17:37
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Grazie Fern per aver inserito le descrizioni di Falkner et al. (2002) (io non le avevo ancora viste). Su Animalbase c'è ancora anche E. alderi, che però ha una scheda descrittiva praticamente uguale a quella di E. trochiformis, del quele è considerato sinonimo da altri Autori (come ad es. Falkner et al.). I gusci di quello cremonese, dal vivo, sembrano più scuri di come sono venuti in foto, viceversa l'animale non è poi così scuro, sicuramente non lo definirei nero. Non so se la scultura del guscio sia resa fedelmente dalle immagini, sembra di intuire che l'ultimo giro sia (forse) più liscio del penultimo (hanno strie più o meno rade).
Sicuramente l'Euconulus di Sesto Cremonese è diverso da quest'altro Euconulus Link ritrovato ad una trentina di km di distanza ed in un habitat boschivo, per niente simile a quello palustre dove sta l'esemplare di quest'ultimo post. |
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